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  • Photo du rédacteurSéraphina Husset

Jean-Luc Lagardère : un magnat de la presse au supplice

« Je connais les pires tourments. Je suis rongé par le remord le plus cuisant. » J’eus alors une vision pour me montrer les brûlures intérieures qu’éprouvait cet homme. Je vis de hautes flammes rouges et oranges. J’avais l’impression qu’il était dans une fournaise. »


Lorsque l’âme quitte son enveloppe charnelle, elle va systématiquement dans la sphère correspondant à son niveau d’involution ou d’évolution : à son taux vibratoire. Cela, grâce ou à cause des choix qu’elle aura faits tout au long de sa vie, du libre arbitre qu’elle aura exercé durant son passage sur Terre. Telle est la Loi de Causalité immuable, incontournable.


Dans Les Clés du Paradis paru en autoédition en 2005, je fais état d’un témoignage fort instructif relatif à l’enfer en rapportant le message que Jean-Luc Lagardère me livra, qui de son vivant, était à la tête d’un des plus grands groupes industriels français portant son nom.


A l’intention de tous les Puissants de ce monde, je faisais cette mise en garde :

« À tous les dirigeants et autres personnes qui ont abusé de leurs prérogatives et qui ont fait, par voie de conséquence, un grand tort à autrui, ainsi que beaucoup de mal, je dis :

"Il n’est jamais trop tard pour s’excuser, pour s’amender, pour réparer. Si seulement vous saviez que vos victimes n’attendent que cela, désespérément. Elles en ont besoin pour se reconstruire.

Elles en ont besoin pour cicatriser les plaies qui sont dans leur cœur... Elles en ont besoin pour se tourner vers leur avenir avec plus de Sérénité. Même si vous ne réparez que partiellement le mal que vous leur avez fait, ce geste aura à leurs yeux une grande valeur...

Vous aurez reconnu vos torts. Aux yeux de vos victimes, cela ne sera pas une satisfaction personnelle. Non, cela sera perçu dans leur cœur comme une injustice que vous avez envie de réparer...

Certaines personnes à la morale élastique pourront rétorquer : "Je ne savais pas que j’avais mal agi. Je ne réalisais pas que j’avais fait du tort." À toutes ces personnes, je leur suggère de s’interroger sur le fait de savoir si elles apprécieraient, aimeraient être traitées comme elles-mêmes traitent et considèrent les autres : "Ne faites pas aux autres ce que vous n’aimeriez pas qu’ils vous fassent" enseignait le Christ !


CETTE PHRASE A ELLE TOUTE SEULE EST UNE ETHIQUE DE VIE.


Si toutes ces personnes connaissaient par avance les grandes souffrances, les affres de l'enfer qu’elles vont devoir subir lorsqu’elles passeront de vie à trépas, cela leur donnerait sûrement l'envie de faire des efforts pour changer...

Cela leur donnerait le courage, la volonté, la détermination de couper court avec des actions préjudiciables pour les autres, dans un premier temps, mais dans un second temps, TOUJOURS préjudiciables à elles-mêmes.


Le 10 mars 2005, alors que je ne m’y attendais pas du tout, je reçus un message poignant de Jean-Luc Lagardère. Tandis qu’il me parlait, je voyais la sphère toute noire dans laquelle il se trouvait : il était en enfer ! Tout le temps que dura la communication, mon petit frère Jean-Yves et des Anges me protégèrent.


Cet homme me dit : « J’ai fait des abus de Pouvoir. J’ai exercé des pressions politiques.» À l’intention des personnes qui exercent le Pouvoir, il dit alors d’une voix pressante : « Ne faites pas comme moi. Je suis malheureux. Je m’en veux. Je suis rongé par le remord. Je suis plein de regrets pour tout le mal que j’ai fait, pour tous les torts, les grands torts que j’ai causés à certains. J’étais ambitieux. J’aimais le Pouvoir, l’argent, les femmes. J’ai brisé la carrière de certains. J’ai agi en véritable potentat ! Je souffre. Je souffre. »

Je vis alors qu’à cause de tous ses propos, il ressentait des brûlures dans la gorge, dans les voies respiratoires, comme s’il avait avalé du soufre. Il continua : « Je suis malheureux.»

Il ajouta : « Priez pour moi. » Tandis qu’il disait cela, je ressentis qu’à mon égard, il éprouvait un sentiment d’indignité, mais tout comme un naufragé, il me demandait de l’aider. Il continua : «J’étais cynique. J’avais mes têtes. Il y avait ceux que j’aimais, ceux que je détestais ! J’étais rancunier. À certains, je leur gardais un chien de ma chienne et je le leur ai fait payer très cher. » Se grava dans mon esprit le mot syndicalistes. Il continua : « J’étais revanchard. J’étais craint. J’aimais le Pouvoir ! J’aimais être avec les Grands. Je faisais la pluie et le beau temps...

J’ai usurpé… – je n’ai pas compris la fin de la phrase. J’étais inflexible, dur en affaires. J’ai fait beaucoup de mal... Je demande pardon à certains de mes collaborateurs, à quelques associés du Groupe. J’abusais de mes prérogatives. J’aimais vexer, j’aimais humilier, j’aimais rabrouer.


Ici, je me rends compte à quel point certains propos que j’ai tenus ont fait souffrir, ont provoqué de dégâts chez ceux qui subissaient les affres de mes colères, de mes sarcasmes : dépression, déconsidération, oppression psychologique, mal-être, idées suicidaires, rancune, volonté de se venger...

Je veux réparer, je vais réparer. Je me suis laissé griser par le Pouvoir. Je n’étais pas un méchant homme au départ. Je suis oppressé par le mal que j’ai fait. Priez pour moi. À ce moment-là, je le ressentis comme un mendiant qui mendiait non une aumône, mais des prières pour que son âme soit apaisée...

J’ai été injuste avec certains de mes employés. Je n’ai pas voulu reconnaître leur véritable valeur professionnelle. Je voulais les casser, les briser ! Je voulais leur montrer qui était le patron. Ici, je suis malheureux, si malheureux.» Tandis qu’il me disait cela, je ressentais de façon très atténuée, sa souffrance. Il continua :


« Je connais les pires tourments. Je suis rongé par le remord le plus cuisant.» J’eus alors une vision pour me montrer les brûlures intérieures qu’éprouvait cet homme. Je vis de hautes flammes rouges et oranges. J’avais l’impression qu’il était dans une véritable fournaise...

Dieu me permit alors de voir une chose que je n’avais jamais vue auparavant : je vis que Jean-Luc Lagardère souffrait atrocement, comme s’il était supplicié, chaque fois que les personnes à qui il avait fait du tort, à qui il avait fait de la peine, à qui il avait causé du chagrin se remémoraient ses blâmes, ses sarcasmes !


Il vivait à ce moment-là dans tout son être, les souffrances qu’il leur avait causées : souffrances qui étaient décuplées en enfer… Il termina : «J’ai confiance en vous, je vous remercie.» Il s’exprima avec humilité et déférence, puis il disparut.

Je vis alors que mon petit frère Jean-Yves, autorisé par Dieu, m’avait permis de recevoir cette communication pour aider Jean-Luc Lagardère, mais aussi, et SURTOUT pour que son témoignage poignant serve d’exemple à tous ceux et toutes celles qui aiment le Pouvoir et en font un si mauvais usage…


Depuis cette canalisation, j’ai vu d’autres Puissants de ce monde en enfer. A plusieurs reprises, j’y vis Fidel Castro.


Je précise que certains chefs d’état n’ont pas de sang sur les mains à proprement parler, toutefois, la politique hégémonique qu’ils ont mené tambour battant à l’égard d’autres nations a été la cause d’immenses drames, a contribué à dévaster des pays, à les mener à la ruine... Que de familles détruites... que d’enfants traumatisés aux destins brisés... Pour ne citer que deux exemples : Messieurs Georges W. Bush en instrumentalisant la guerre en Irak et Nicolas Sarkozy en s'ingérant dans la politique de la Libye sont à l’origine de souffrances bien plus grandes encore que celles vécues sous Saddam Hussein et Mouammar Kadhafi ! A ce titre, ils auront des comptes à rendre à Dieu le moment venu !


Que tous deux, ainsi que tous les dictateurs qui ont œuvré en concertation dans leur coeur avec les puissances démoniaques s’attendent à les rejoindre dans leur lieu de prédilection à l’instant même où leur âme quittera leur enveloppe charnelle...

Dans ce lieu d’horreur et de terreur, tous y resteront des décennies, voire des siècles... Telle est la Loi de causalité !




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