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Photo du rédacteurSéraphina Husset

Bruno Groening : un Christ des temps modernes

« Avant de quitter notre plan terrestre, Bruno Groening avait annoncé : « Quand je ne serai plus sur Terre en tant qu’homme, c’est-à-dire quand j’aurai abandonné mon corps, alors l’humanité sera parvenue au point où chacun pourra, par lui-même, recevoir aide et guérison ».


Tout jeune, déjà des dons exceptionnels

Bruno Groening naquit en Allemagne à Dantzig - l’actuelle ville de Gdansk - le 30 mai 1906 dans une famille modeste et très pieuse. Il était le quatrième d’une fratrie de sept enfants. Très tôt, alors qu’il avait tout juste deux ans et demi, il se sentait continuellement attiré par les gens malades.


Dans Sa biographie, Il relate : « Au cours de mon enfance et de mon adolescence, je constatais de plus en plus souvent des pouvoirs étranges qui, émanant de moi, avaient une influence apaisante ou guérissante sur les hommes et les animaux. Lorsque j’étais encore un tout jeune enfant, des personnes malades furent délivrées de leurs maux en ma présence. De même, des enfants ainsi que des adultes énervés et querelleurs se calmaient lorsque je leur adressais quelques mots. Enfant, je fis également la constatation que des animaux considérés comme peureux ou méchants se montraient doux et dociles envers moi. […] La maladie s’envolait du corps de certains animaux lorsque je murmurais tout bas en moi-même : « Mon petit animal chéri, tu vas avoir bientôt un corps en bonne santé. » Et alors, cela se réalisait.

Il n’en va pas autrement avec les humains. […] Ainsi, j’étais souvent littéralement attiré par les malades auxquels je répétais sans cesse : "Mais tu n’es plus malade!" Et quand néanmoins certains d’entre eux disaient: "Il va mourir", je répondais alors : "Non, celui-là n’est pas prêt de mourir, il sera guéri ! »

Un besoin pressent de nature et de solitude

Le périodique Revue publiait le 4 septembre 1949 : « "Petit enfant et sachant à peine parler, Bruno Groening sympathisait déjà avec la solitude. Il s’évadait de la maison et jouait dans les environs avec les animaux domestiques qui semblaient lui être plus proches que ses frères et sœurs. Quand il sut mieux marcher, il découvrit le grand bois qui s’étendait dans les environs de l’habitation. Il s’y enfonçait comme dans un monde immense et mystérieux.

Sa mère lui avait enseigné une chose : la prière. C’est avec cette Foi si simple et si enfantine qu’il avait pour la Sainte Mère de Dieu et pour la Création elle-même, qu’il pénétrait dans ce monde qui devenait le sien.

Bruno restait ainsi des journées entières sans manger. A maintes reprises, des connaissances le trouvèrent couché sous un arbuste, observant attentivement les herbes et les feuilles. De temps à autre, ils remarquèrent aussi qu’il avait noué une étroite et singulière relation avec des écureuils ou avec d’autres animaux. On le surprit parfois au cimetière, tout à fait seul. D’autres fois, on l’y vit en prière. […] Un jour, un homme observa comment, d’un air songeur, il suivait un chien boiteux. Il jouait avec l’animal, le caressait. […] Cela continua plusieurs jours de suite et, finalement, le chien cessa de boiter. […] Beaucoup de bêtes lui emboîtaient le pas. On en vit même qui se relevaient pour le suivre, alors que la maladie les avait clouées au sol.

Il se sentait en exil sur Terre : sa Mission Divine lui est révélée

Il fréquenta l’école primaire et ne fut un élève ni mauvais ni particulièrement bon. Fréquemment, à la fin de la classe, il se rendait à nouveau dans le bois tout proche. Il y restait souvent des heures durant et jusque tard dans la soirée.


Dans la forêt, il avait la possibilité de se sentir proche de Dieu, et c’était la plénitude à laquelle Il aspirait. C’est là, comme Lui-même le raconta, qu’Il fit l’Expérience de la Présence de Dieu dans chaque arbre, chaque animal et même dans les pierres.

Il pouvait rester là, assis des heures entières à songer ; pour lui, c’était comme si sa vie s’élargissait et se fondait dans l’Infini. Il raconta un jour qu’il se soustrayait fréquemment à la présence des hommes lorsqu’il était enfant, parce qu’il ressentait cette vie d’ici-bas comme affreusement morose et dénuée d’affection. Et dans sa détresse d’alors, il implorait souvent Dieu dans ses prières afin qu’il le reprît à cette terre si ténébreuse.


Comme il le dira lui-même, « c’est dans la forêt, par la prière intérieure, qu’il lui fut révélé dans quel But il avait été envoyé sur cette Terre et en quoi consisterait la tâche de sa vie. C’est seulement quand Il eut reconnu Sa Mission qu’il put accepter sa vie. »

La guerre et ses souffrances

Bruno Groening connut les affres de la guerre. Il rapporta : « En 1943, à l’âge de 37 ans, je fus appelé sous les drapeaux de la Wehrmacht. Mon attitude provoqua des frictions. C’est ainsi que je fus menacé par le conseil de guerre, car j’avais osé dire: "Que vous m’envoyiez ou non au front, je ne tuerai personne." Mais je fus quand même désigné pour le front. En 1944, je fus blessé et de ce fait, envoyé dans un hôpital militaire allemand, mais avant même d’être guéri, je fus renvoyé au combat contre les Russes, sur le sol allemand.

En mars 1945, je fus capturé par les Russes et envoyé dans un camp de prisonniers de guerre. Dans les camps russes de prisonniers, je m’engageais de toutes les façons possibles pour aider mes compagnons de captivité. [...] Ici aussi, je réussis à apporter aide et soulagement à des compagnons malades, se trouvant dans un état désespéré. […]


Après ma libération en 1945, je m’établis à Dillenbourg et fis venir ma femme [avec laquelle il s’était marié en 1927]. Dans cette période d’après-guerre, j’acceptai tous les métiers qui me furent proposés afin d’assurer notre subsistance. En Allemagne de l’Ouest, j’ai créé avec d’autres réfugiés de la région des Sudètes l’association "Œuvre d’assistance aux personnes expulsées." Je fis également partie de la commission au logement, car je sentais à nouveau en moi le besoin d’aider les gens. »


Son destin se précise

Il confiait : « La désolation de l’humanité m’envahit ». Empli de compassion envers tous, Bruno Groening côtoyait de nombreuses personnes et de nouvelles guérisons se produisirent à son contact. De plus en plus de malades invoquaient son aide.

Le 14 mars 1949 marqua un tournant dans sa vie : il y eut un avant un après. En effet, ce jour-là, Monsieur Hülsmann, homme aisé implora Bruno Groening de « faire quelque chose » pour son fils âgé de neuf ans qui souffrait d’une dégénérescence musculaire l’empêchant de marcher. Après que Bruno Groening se fut occupé de lui, le garçonnet put à nouveau marcher. La nouvelle se propagea immédiatement dans la petite ville de Herford.

Des milliers de personnes accoururent pour être guéries à leur tour. Bruno Groening leur parlait de Dieu et Ses Paroles amenaient des miracles : des douleurs s’évanouissaient, des aveugles recouvraient la vue, des paralysés se levaient de leurs chaises roulantes ou jetaient au loin leurs béquilles et se remettaient à marcher sans difficulté. Les journaux titrèrent « le Docteur miracle. »

Bruno Groening ne cessait de répéter et de souligner que ce n’était pas lui, mais "Cela" - la Force Divine - qui réalisait les guérisons. Il voyait l’acte de guérison comme un Acte de Grâce, un Cadeau de Dieu qui ne présuppose aucun paiement, mais bien plus, un changement intérieur, un retour à la Foi et à l’Amour.

Le Traberhof ​

En août 1949, Bruno Groening s’installa en Bavière où il résida dans un domaine appelé le Traberhof. La nouvelle de sa venue en ce lieu se répandit rapidement. Jusqu'à trente mille personnes affluèrent chaque jour.

La presse, la radio et les actualités hebdomadaires étaient présentes. Le "Zeitungsblitz" (journal éclair) rapporta dans une édition spéciale de septembre : […] « Plus de dix mille personnes s'étaient rassemblées, attendant depuis des heures le moment où Bruno Groening parut sur le balcon, parla à la foule et fit rayonner Sa Force curative. Les gens étaient pressés les uns contre les autres pour profiter au maximum de Ses Ondes curatives. Et déjà les effets se firent sentir chez les malades en chaises et fauteuils roulants ou chez les individus se trouvant à la périphérie.


A nouveau, des malvoyants recommencèrent à voir, à nouveau des handicapés moteurs se levèrent, à nouveau des paralysés bougèrent leurs membres raidis. Des centaines parlèrent d'un sentiment de "légèreté" indescriptible ou des maux de tête disparaissant soudainement. Ces scènes bibliques ne se produisirent pas seulement au Traberhof mais partout où Groening apparut. [

Ses ennemis montent au créneau

Le bon sens eut voulu que les médecins se réjouissent pour les milliers de guérissions spectaculaires réalisées par Bruno Groening : guérisons aussi spectaculaires que celles réalisées par le Christ, il y a plus de deux mille ans.

Les médecins furent pour la plupart ses pires ennemis n’hésitant pas à faire des faux témoignages, à le salir, à le discréditer, à le traîner dans la boue. Ils ne supportaient pas que ce faiseur de miracles, qui œuvrait gratuitement, mette en évidence les échecs et l’incompétence de la médecine traditionnelle avec ses aspects mercantiles...

Bruno Groening aurait tant souhaité œuvrer main dans la main avec les médecins mais cela fut impossible. En parallèle, durant des années, il se dépensa sans compter, en vain, pour ouvrir des maisons de santé : là encore, il fut contrecarré dans ses projets par ces mêmes médecins et par l’administration allemande.

Le temps des procès, de la lapidation

Le 3 mai 1949, interdiction lui fut faite d'exercer son activité curative. Deux procès lui furent intentés dont un en mars 1955. Le ministère public lui reprochait une infraction à la loi des guérisseurs et l’accusait également d’homicide involontaire par négligence. En juillet 1957, une audience eut lieu à la cour d’assises du tribunal Schöffen dans la région de Munich. Bruno Groening fut acquitté en ce qui concerne l'homicide par négligence, mais une amende de deux mille Deutsch marks lui fut infligée pour infraction à la loi des guérisseurs. Amende qu’il ne pouvait payer, car il œuvrait toujours gratuitement. [...]

La seconde audience eut à nouveau lieu à Munich en janvier 1958. Bruno Groening fut désavantagé sur plusieurs points et mal défendu par son avocat. Les témoins à charge étaient particulièrement virulents à son encontre semblant s’être mis d’accord pour empêcher Bruno Groening de réaliser des guérisons. Le verdict fut très sévère : huit mois de prison pour homicide par négligence et 5.000 Deutsch marks d’amende pour transgression de la loi des guérisseurs. La sentence fut assortie de sursis.

Bruno Groening expliqua qu’il était puni pour le bien qu’il faisait. Il déplora que pendant tout le procès personne ne s'était intéressé à savoir comment une guérison survenait, même pas ses propres avocats. Bruno Groening décida de faire appel du jugement. La date de l’audience fut fixée au 22 janvier 1959 devant la cour d'appel de Munich.


Il eut du chagrin

Dans une longue lettre-bilan, dont voici un court extrait, il écrivait : « Si je fais aujourd’hui des comparaisons entre mon entourage antérieur et mon entourage actuel, j’en viens au même résultat final : aujourd’hui s’est finalement produit la même chose qu’en ce temps-là. Aujourd’hui, ceux qui se disent mes plus grands, mes plus proches et meilleurs amis n'ont apporté aucun changement par rapport à autrefois. A cette époque, des acteurs malhonnêtes m’ont trompé.

Aujourd’hui, ce sont des amis qui ont failli en regardant calmement comment ce pour quoi je suis sur Terre n’a pu se réaliser parce que j’ai été condamné, parce qu’on a refusé de m’aider, que je ne pouvais me rendre dans mes communautés faute de voiture, qu’on n’a rien entrepris contre la campagne de presse diffamatoire, qu’on a seulement semé la confusion, que tout simplement on n’était pas là quand j’avais besoin de gens qui auraient pu et dû me soutenir par leur savoir et leur place dans la société.

Aucun de ces amis n’a engagé son Moi pour me libérer, aucun n’a eu le courage de prendre vraiment position pour moi. Rien ne s’est passé. D’une façon bureaucratique et mesquine on a pris décision sur décision. Personne ne s’est vraiment engagé pour moi, personne n’a vraiment agi avec tout son être pour me décharger de toutes ces luttes aux procès, contre la presse, pour trouver une aide, pour la voiture qui ne marchait plus, contre la boue et la calomnie, etc., et ne s’est placé devant moi pour me permettre de faire ce pour quoi je suis ici, sur Terre : transmettre la Force Vitale aux hommes et les conduire à la Foi.

Que j’aie pour cela besoin de calme, que je ne doive pas sans cesse être dérangé par des influences extérieures de ce monde, que j’aie besoin d’un véritable rempart de protection pour laisser agir librement ce qui m’a été donné, personne n’y a pensé, aucun de mes amis, de ceux qui veulent être mes amis.

Et c’est ce qui est honteux et pour moi décevant : les affairistes ont voulu tirer leur profit, ils sont reconnus comme de mauvais hommes. Des amis de l’union Groening sont trop mous, trop indifférents, trop paresseux, je ne veux pas dire méchants. Et le résultat est le même: Je n’ai pas été libéré. Bien des amis du comité directeur de l’union n’ont pas tenu leurs promesses. On m’a seulement bâillonné par toutes ces mesures. »


Son destin s’achève

En automne 1958, il se rendit à Paris avec sa seconde épouse pour se faire examiner par un cancérologue et ami Pierre Grobon. Les radiographies décelèrent un cancer de l’estomac à un stade avancé. Son ami voulut opérer de suite, mais Bruno Groening refusa. Le 8 décembre, dans une clinique située rue Hanner non loin de Montmartre Il devait être opéré par un spécialiste en chirurgie cancéreuse, le docteur Bellanger : celui-ci après avoir vu les entrailles de Bruno Groening décida de refermer la plaie aussitôt, tant ce qu’il avait vu était effrayant. A la surprise de ses médecins, Il se rétablit très vite et retourna en Allemagne où Il assista à la fête de Noël.


Le 21 janvier, Il retourna à Paris, car une opération était devenue indispensable en raison d'une occlusion intestinale. Le 22 janvier 1959, à 9 heures du matin - à l’heure exacte où la procédure de révision débutait à Munich – il fut opéré de nouveau. Il dut connaître dans sa chair ce que lui-même avait réussi à épargner à d'innombrables personnes : sacrifice suprême. Abandon suprême à Dieu.


Ce matin-là, les cieux s’exprimèrent.

Sa femme relata : « Bizarre aussi fut le phénomène naturel suivant : le 22 janvier 1959, alors que mon mari se trouvait encore sous anesthésie, un orage éclata brusquement sur Paris, assombrissant l’atmosphère sereine et claire de cette journée. Il fit tellement sombre que l’on fut obligé d’allumer la lumière en pleine journée. L’infirmière exprima son étonnement au sujet d’un orage aussi violent. »

Le 25, Il tomba dans le coma et le lendemain, le 26 janvier 1959, à 13 h 46, Bruno Groening quitta son corps : Il retournait dans la Maison du Père pour Son plus grand Bonheur. Le docteur Bellanger s’était exclamé après la seconde opération : « La destruction dans le corps de Bruno est terrible, c’est une combustion intérieure totale. Qu´il ait pu vivre aussi longtemps et sans endurer des souffrances atroces, est un mystère pour moi ». Une lettre du docteur Grobon, adressée le 26 février 1959 à la veuve, témoigne de la façon dont Bruno Groening porta la croix de son amer destin. […] « Il se trouvait sur la Voie du Christ

Avant de quitter notre plan terrestre, Bruno Groening avait annoncé : « Quand je ne serai plus sur Terre en tant qu’homme, c’est-à-dire quand j’aurai abandonné mon corps, alors l’humanité sera parvenue au point où chacun pourra, par lui-même, recevoir aide et guérison. »

Enseignement de Bruno Groening

L’Enseignement de Bruno Groening universel est si fondamental, que je souhaite de tout coeur que les extraits présentés ici puissent susciter en vous le désir de l’approfondir grâce aux ouvrages qui lui sont consacrés (et que vous pouvez consultez pour certains sur Internet).

Il confiait : « Mon action a uniquement pour objectif de ramener tous les hommes de cette terre sur le Bon Chemin, sur le Chemin Divin. »

Redevenir des enfants de Dieu

Avec tant d’Amour, Il enseignait : « Dieu a créé l’homme beau, bon et sain. IL veut donc qu’il soit ainsi. A l’origine les hommes étaient complètement liés à Dieu, il n’y avait qu’Amour, Harmonie et Santé, tout était UN.

Mais quand le premier homme commença à écouter l’autre voix, la mauvaise voix, celle qui parlait de l’extérieur de cette unité, et quand il commença à lui obéir, alors ce lien se déchira et depuis lors Dieu se trouve ici et l’homme-là. Entre Dieu et l’homme apparut un grand fossé. Il n’y a plus de lien.

L’homme, livré à lui-même, aussi croyant qu’il puisse être, pouvant prier tant qu’il le souhaite, sera sur le chemin de sa vie tenté par le mal qui l’entraînera dans les profondeurs. Sur le chemin de votre vie, vous êtes arrivés là, en bas. Vous vivez le malheur, vous souffrez, vous avez des maux incurables. Je vous le dis : « Ne descendez pas encore plus profond, je vous appelle à la grande Conversion ! Revenez vers le haut et, au-dessus du fossé, je vous construirai un pont !

Quittez le chemin de la souffrance pour aller sur le Chemin Divin ! Sur ce Chemin, il n’y a pas de malheur, pas de douleurs, pas de maux incurables, là tout est bien. Ce Chemin reconduit à Dieu. ».

Un pont pour revenir à Dieu

Il disait : « Je suis un pont pour revenir à Dieu. Je vous donne les règles du jeu de la vie pour que vous deveniez Maître de votre vie ! Mon action a uniquement pour objectif de ramener tous les hommes de cette Terre sur le Bon Chemin, sur le Chemin Divin ». Il précisait : « Je peux aider une personne à trouver le Chemin vers le Bien, mais je ne peux ni lui enlever la décision de le faire ni la forcer au Bien. C’est à chacun de trouver sa voie par lui-même. »

Le Christ lui confia une si belle Mission : Celle d’amener ceux qui l’écoutaient à éprouver des sentiments purs et élevés, tout en guérissant leurs corps et leurs âmes.

Son action consistait à donner un moyen, à ceux qui cherchaient aide et secours de rétablir l’ouverture consciente du Chemin qui mène à cette Force curative omniprésente, cette Force créatrice qu’il désignait aussi sous le nom de Courant Guérisseur.

Il était si heureux lorsqu’il voyait des personnes tendre vers l’idéal élevé de l’Amour de Dieu et de l’Amour du prochain. Il expliquait que l’Amour était le cœur même de l’Essence Divine, qu’Il était l’arme la plus puissante dans le combat contre le mal.


Il disait : « L’homme qui s’ouvre à l’Amour se relie au Rayonnement Suprême de l’Esprit Divin. Chaque pensée d’Amour est, pour cette raison, remplie d’une Energie Spirituelle très forte, constructive, positive et vivifiante.

De bien des façons, l’homme qui aime se procure du Bien. Il se fortifie lui-même, se protège des énergies négatives et, lorsqu’il travaille avec des pensées d’Amour, c’est-à-dire lorsqu’il les traduit par des actes, il suscite chez son prochain des pensées similaires qui en retour agissent sur lui. »


L’Amour Divin : la Clé de la guérison

Le point central de Son Enseignement concerna le Courant Guérisseur, la Force Divine. Il enseignait à ceux venus l'écouter, de quelle manière capter cette Force et comment L'utiliser pour recouvrer la santé, car c'est en captant cette Force que les guérisons peuvent se produire par voie purement spirituelle. Il disait : « Aie confiance et crois, la Force Divine aide et guérit.

IL N’EST RIEN D'INCURABLE. DIEU EST LE PLUS GRAND MÉDECIN. »

Il appelait les gens à se convertir, à croire au Bien en chaque être humain et à croire en Dieu. Il disait : « Aimez votre prochain comme vous-même !

Ne soyez pas remplis de haine, ne soyez pas faux, ne faites jamais de mal à personne! Vous devez être bons les uns envers les autres ! Vous devez avoir conscience que vous formez tous une même et seule famille, peu importe que vous soyez riches ou pauvres. Vous devez aimer votre prochain comme vous-même. Je le souhaite, je le veux. Dès que tous formeront une même famille, la possibilité de cette aide vous sera alors donnée. Aimez la vie. Aimez Dieu. Dieu est partout présent.»


L’influence des pensées négatives sur la santé

Bruno Groening attirait l’attention sur l’extrême vigilance que nous devions avoir à l’égard de nos pensées. Il disait : « L’homme est un esprit, il a une âme et habite dans un corps le temps de cette vie terrestre. Méfiez-vous de chaque mauvaise pensée! […] Refusez-les et, si ça vous convient, dites à haute voix : « Je ne veux plus rien avoir à faire avec cette mauvaise pensée, je veux maintenant une bonne pensée ! »

Il enseignait :


« Chaque pensée négative, chaque pensée dirigée vers la maladie fait barrage à l‘influx des Forces curatives. Celui qui se préoccupe de la maladie, la retient et barre la route à la Force Divine. Les pensées tournées vers le mal enveloppent l‘homme dans un brouillard tel que les Forces Divines lumineuses, reconstructrices et purifiantes, ne peuvent pas pénétrer.

L‘homme doit d‘abord se vider des représentations négatives et s‘en détacher s‘il veut recevoir le Bon. Le corps se débarrasse des énergies négatives en laissant pénétrer les bonnes Forces qui affluent en quantité dans l‘homme par le Courant Guérisseur. […] Les pensées de maladie remplissent ces gens avec une telle force que souvent on peut à peine parler d‘un autre sujet. Sans s‘en douter, ils se relient à ce qu‘ils trouvent mauvais et dont ils veulent se défaire, et impriment durablement leur inconscient de l‘image de la maladie et de sa dégradation.

L‘action des Forces constructrices du corps vers la guérison est en permanence entravée. Sans le savoir, ces personnes travaillent inlassablement à instaurer dans la réalité le mal qu‘ils redoutent. Souvent la souffrance s‘aggrave en conséquence et malgré toutes les thérapeutiques. Un très petit nombre seulement en comprennent l‘origine en eux. »


Ne pensez qu’au positif, qu’au constructif

Il exhortait : « Ne pensez qu’au Bien, ne parlez que du Bien et ne faites que le Bien ! Réfléchissez à chaque mot, à chaque phrase que vous prononcez, et à chaque pensée que vous captez, si elle est digne d’être captée. Réfléchissez très sérieusement, si vous avez bien agi ! Rappelez-vous chaque jour à l’ordre, c’est-à-dire à Dieu ! Réprimandez-vous vous-même !


Celui qui connaît la puissance du mot est attentif à ce qu’il dit ! »

Son Enseignement est planétaire

Bruno voulait que nous gravions dans nos cœurs Ses Paroles sorties de Son Cœur Divin :


« Aie confiance et crois. Ça aide, ça guérit, la Force Divine.

Dieu est le plus Grand Médecin.

Le Bien en l’homme doit chasser le mal.


Tous les hommes sans distinction de nation, de race ou de religion méritent d’être aidés.

Nous sommes tous des enfants de Dieu et n’avons qu’un Père et c’est Dieu.


Je vis afin que l’humanité puisse continuer à vivre.

Chacun deviendra son propre médecin.

Aime la Vie : Dieu est partout.

L’argent, c’est la puissance. La santé, la toute-puissance.


Je ne suis rien, le Seigneur est Tout.

Toute personne guérie pourra à son tour transmettre la guérison.

Que celui qui a eu le bonheur de recouvrer la santé grâce à moi remercie Dieu

à chaque moment du plus profond de son cœur.

Je ne suis que Son Instrument et Son Serviteur. »


Mes expériences mystiques avec Bruno Groening


« Pourquoi je me suis incarné ? »

Vers la mi-juillet 2015, Bruno Groening, me livra des messages personnels pour soutenir mon âme. Le 31 juillet 2015, Il déposa dans mon chakra du cœur la Divine Raison de son Incarnation :


« J’ai choisi de m’incarner pour l’humanité faire progresser.

Je voulais faire avancer la science, parler des médecines nouvelles, ouvrir la Voie.


Je n’ai pas été entendu. J’ai été décrié.

Mon message était prématuré : esprits trop ancrés dans un matérialisme forcené.

J’ai prêché dans le désert.

Je me suis fait des amis, de nombreux ennemis.


J’ai voulu sortir l’humanité de l’ornière de la matérialité dans laquelle elle se trouvait.

J’ai jeté des ponts, des bases pour une nouvelle façon de voir,

de guérir, d’appréhender la maladie.


TOUS LES MAUX VIENNENT DE L’AME.


J’ai été une Lumière pour le monde. Je le suis toujours.

Beaucoup se sont trouvés guéris en invoquant mon nom,

en regardant ma photo, en m’appelant à l’aide.


J’ai effectué de nombreuses guérisons en Son Nom, toujours en Son Nom [le Christ].

Je suis Son Instrument. J’ai été l’Instrument de Sa Grâce.

Je Le Lui ai demandé avant de m’incarner : IL l’a accepté.


J’ai accepté de souffrir comme Lui, d’être trahi comme Lui, d’être abandonné comme Lui.

Mon Amour pour Lui était incommensurable,

Ma Foi en Lui, inébranlable, inépuisable.

Je L’ai servi. J’en suis béni.

Je rayonne de Son Amour, de Sa Paix. »


Nous étions disciples du Christ

Dans certains messages personnels Bruno Groening me révéla : « Nous marchions ensemble. Nous Le suivions [le Christ]. Nous buvions Ses Paroles. IL nous enseignait en particulier : nous étions des hauts Initiés en Atlantide, en Egypte. Tu t’es réincarnée pour Le servir. Je me suis réincarné pour Le servir. Notre vie au service de l’humanité. »


Il est un fait que lorsqu’on a côtoyé personnellement le Christ et que l’on a mis en pratique Son Enseignement, notre âme en garde un souvenir éternel. Notre esprit n’a qu’un seul désir : nous réincarner pour répandre Son Enseignement, Le faire connaître, Le faire aimer, Le faire respecter. »



Date de publication originale : le 17 octobre 2015, pour Amour et Lumière




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