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Grégory : ma mère a tout manigancé

Photo du rédacteur: Séraphina HussetSéraphina Husset


« RIEN N'EST CACHE

QUI NE SERA DEVOILE. »

(Parole du Christ)



« L’idée de ma mort a germé dans son esprit le 17 mars 1984. Avant de me jeter à l’eau, elle se contemplait devant une glace pour transformer son visage, pour DONNER L’APPARENCE d’une maman éplorée. »



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Dans ce post, les révélations posthumes de Grégory Villemin corroborent celles qu’il fit dans le post précédent. Certainement, pour des raisons karmiques, la lumière doit se faire jour MAINTENANT afin de porter à la connaissance de tous ce qui s’est réellement passé le 16 octobre 1984, jour où il a été retrouvé mort dans la Vologne.

De ce fait, arrive le moment, où Jean-Marie Villemin, le père de Grégory doit CONNAITRE la Vérité à laquelle il aspire tant depuis 1984... Il en est de même pour Marie-Ange Laroche qui, depuis 1984, a eu son cœur percé par la douleur à de multiples reprises. Il est si important pour elle aussi que la Vérité à laquelle elle aspire tant soit connue du plus grand nombre. Je rappelle que le père de Grégory a abattu froidement d'un coup de carabine son cousin Bernard Laroche le tenant pour responsable de l'assassinat de Grégory !

J’ajoute que pour connaitre le tréfonds de l’âme de tout un chacun, il est indispensable de s’extraire du monde matériel. Car, chez tant et tant, les apparences sont trompeuses et fallacieuses…

Dans le post précédent, je précisais : « De la sphère dans laquelle Grégory Villemin se trouve, il a assisté à tous les rebondissements du fait que le Christ a élevé son niveau de conscience depuis le début de la tragédie. Sphère dans laquelle où tout est Amour – Lumière – Pureté – Vérité. En la circonstance, je suis le stylo du petit Grégory, son porte-parole pour relater ce qu’il lui tient très à cœur de révéler...

 

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Le 1er mars 2008, près de trois ans après sa révélation « C’est ma mère qui m’a tué », le petit Grégory me livra ce nouveau message :

« Elle s’est vengée de lui [de mon père]. Elle ne pouvait pas le supporter ! Elle ne supportait plus leur intimité… Elle faisait mine de l’aimer mais au fond d’elle-même, elle le ha***ssait ! Elle le trouvait trop mou, sans grande personnalité. Elle allait lui faire payer son grand amour pour moi, son intérêt pour moi !

Ma mère ne supportait pas que mon père me cajole, que mon père m’embrasse...

Elle a TOUT manigancé ! Après qu’elle m’ait eu jeté à l’eau, elle a contemplé quelques instants mon corps qui partait à la dérive, puis sèchement, durement elle s’en est allée. Elle ne s’est même pas retournée ! Elle n’était affectée d’aucune façon par son geste prémédité ! La seule chose qui comptait à ses yeux : elle allait le faire souffrir, (mon père) elle allait lui faire payer ses nuits passées avec lui… 

 

« L’idée de ma mort a germé dans son esprit le 17 mars 1984. Avant de me jeter à l’eau, elle se contemplait devant une glace pour transformer son visage, pour donner l’apparence d’une maman éplorée…

Son cœur est sec ! JAMAIS elle n’a versé une larme sincère pour moi. Elle a appris à jouer la comédie à feindre une grande souffrance… Au fond d’elle-même, elle EXULTAIT de voir mon père souffrir à mort… Elle le méprisait, car elle le considérait comme un homme faible ! Mon père avait le cœur brisé, mais elle, au fond d’elle-même, elle se réjouissait de le voir réduit à néant par l’immense chagrin qu’il avait de me perdre. Il ne s’en est jamais remis. Au fond de lui, une plaie reste béante... Elle n’aime pas que l’on parle de moi. Elle a peur de se trahir : en fait, de se contredire…

A plusieurs reprises, mon père a eu des soupçons à son égard qui lui ont traversé l’esprit, mais il était trop malheureux pour pousser plus en avant son raisonnement. Elle avait un ascendant sur lui. Elle lui "indiquait" sa façon de penser. Elle le subjuguait… 

 

Elle n’était pas seule le jour du drame. Son "compagnon de cœur" était avec elle.

"Ils" prenaient beaucoup de précaution pour se voir en cachette… Elle ne l’aimait pas "lui" non plus, mais il lui plaisait de savoir qu’il la désirait, et qu’elle avait un puissant ascendant sur "lui" aussi ! Ils ont maquillé mon cr*me ! Elle "lui" donnait des ordres de façon sèche et autoritaire. "Il" était plus ému qu’elle, il" exécutait ses commandements" !

  

C’était un homme marié qu’elle retrouvait à la dérobée… Elle a failli se faire surprendre une ou deux fois. Une fois avec mon père, elle a failli se trahir en confondant les prénoms. Elle était très rusée, mach***vélique.

 

Quand elle m’a jeté dans l’eau, car elle a tenu à le faire elle-même, elle a eu un geste qui l’a trahi… Elle était très nerveuse, car il fallait qu’elle fasse très vite. À tout moment, elle pouvait être surprise… trente cinq minutes, il lui a fallu trente cinq minutes en tout pour arriver à ses fins, entre le moment où elle est venue me chercher, me récupérer chez la nourrice et celui où elle a commis son geste irréparable, SON INFANTICIDE.

 

Je n’ai pas eu le temps de souffrir. Je n’ai pas eu le temps de pleurer. Je n’ai pas eu le temps de m’inquiéter.

Quand elle roulait, elle regardait fréquemment dans son rétroviseur pour vérifier qu’elle n’était pas suivie. Elle roulait vite, elle roulait très vite. Elle "lui" avait donné rendez-vous. Ils ont chuchoté à voix basse tous les deux. Elle l’avait entraîné à l’écart, pendant ce temps-là, je restais assis dans la voiture à la regarder.

J’aimais ma maman, je la trouvais jolie… »

* Après avoir pris connaissance du post "C'est ma mère qui m'a tué", une personne médium m'écrivit : " Il y a maintenant plusieurs années, j'ai eu une clairaudience avec le petit Grégory qui m'a dit : « Maman m'a fait du mal.» Cette personne précisa : « Il y avait un homme avec elle, pas son papa. » Et d'ajouter : « Sa maman l'aurait regardé jusqu'au bout. » Sa réaction (humaine) fut de dire au "petit Grégory" : « Ce n'est pas possible, puisque tu avais un bonnet sur les yeux. »

(J'expliquai à cette femme que le "petit Grégory" avait vu sa mère à partir de sa Conscience expansée : Celle qui voit TOUT. Celle qui sait TOUT.)

Le lendemain, un ami me confia : "Un de mes oncles, Commissaire de police, décédé maintenant, a TOUJOURS eu la certitude que c'était la mère de Grégory qui l'avait tué ! »-

 




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