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Bernard Laroche : "je n'avais RIEN à me reprocher"

Photo du rédacteur: Séraphina HussetSéraphina Husset

« Le poids de la honte, de l’opprobre est dur à porter alors que je n’avais RIEN à me reprocher, que je n’ai JAMAIS rien eu à me reprocher. »


Le 23 février 2008, Bernard Laroche profondément attristé par ce qu’endurait sa femme, continuait ses révélations :


« Je suis malheureux. Elle va encore souffrir, elle me fait de la peine... Elle est devenue l’ombre d’elle-même. Elle me manque tellement... Je n’ai jamais cessé de l’aimer. "Ils" vont encore la briser ! Votre petit frère et moi, nous la soutenons sans relâche, sinon son cœur lâcherait de lassitude, de chagrin, de déprime, de découragement...


Vous allez beaucoup l’aider, énormément l’aider. Elle va se métamorphoser. Vous allez changer sa vie. Vos révélations vont transformer sa vie et celles de mes petits. Comme je les aime eux aussi. Je vous suis tellement reconnaissant, à l’avance, de tout ce que vous allez faire pour elle. Vous allez lui rendre son honneur en disant la vérité, en disant que je ne l’ai pas tué. "Elle" a bien maquillé son crime ! Elle a fait tant souffrir... Elle nous a fait tant de mal à tous, à ma famille, à mes parents.


Le poids de la honte, de l’opprobre est dur à porter alors que je n’avais rien à me reprocher, que je n’ai jamais rien eu à me reprocher.

"Elle" a tout gâché. Elle était jalouse de notre bonheur, de nos joies familiales simples. Elle nous épiait... Elle m’en voulait terriblement de ma fidélité à mon épouse. A plusieurs reprises, elle m’avait fait des avances, mais je les ai toujours ignorées. J’aimais ma femme. Jamais je ne l’aurais fait souffrir ! J’étais contre l’adultère !


"Son" Jean-Marie, elle le méprisait ! Elle le cocufiait... Elle l’humiliait. Elle ne l’aimait pas. Elle lui jouait la comédie. Elle était très forte pour cela. Elle était une experte. Il n’y a vu que du feu...

Je suis malheureux pour lui. Quand il va savoir la vérité, quand il va découvrir la vérité, son cœur va exploser, il va saigner, d’anciennes plaies vont se rouvrir. Elle va lui faire énormément de mal. Elle va lui causer un grand chagrin. Il ne s’en remettra pas. Elle n’aura pas de remord. Aucun remord ! Au fond d’elle-même il y aura même une forme de jubilation...


Je suis heureux ici… J’ai beaucoup changé. J’ai beaucoup évolué. Je prie constamment.

Je vous remercie infiniment. »




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