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Bernard Laroche : "J'ai assisté à mon propre enterrement"

Photo du rédacteur: Séraphina HussetSéraphina Husset


« RIEN N'EST CACHE

QUI NE SERA DEVOILE. »

(Parole du Christ)



« "Elle"1* s’est vengée ! Perversement, sournoisement, "elle" attisait sa ha*ne, (à Jean-Marie) à mon égard. "Elle" me ha**sait depuis le jour où J’AI REPOUSSÉ SES AVANCES. "Elle" m’en voulait terriblement… "Elle" s’était juré qu’"elle" allait me le faire payer ! »

 

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A la demande de "mes Guides", des Etres de Lumière, A la demande de « mes Guides », des Êtres de Lumière, je continue de mettre en ligne les posts relatifs à « l’affaire Grégory » en utilisant des dates astrologiques significatives afin que le moment venu, la Vérité soit connue dans « les quatre Directions ».

Au-delà de ces révélations particulières et tragiques, Les Êtres de Lumière souhaitent ardemment que de plus en plus de personnes soient informées des REALITES des Mondes parallèles.

Au fil de ces posts, nous pouvons constater à quel point nos bien-aimés qui évoluent dans l’au-delà continuent de vivre, de nous aimer, de nous guider. GRATITUDE à chacun d’eux. Ils sont nos Protecteurs, nos Guides, un peu nos Anges Gardiens…


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Avant que vous ne preniez connaissance du message ci-dessous que Bernard Laroche me livra le 10 octobre 2004, je souhaite faire cette mise au point importante relative aux "mondes invisibles". Lorsque les défunts, les désincarnés quittent leur corps physique, aussitôt, leur Conscience, leur âme sont projetées dans la sphère correspondant à leur taux vibratoire. Lorsque ces désincarnés ont une belle âme et que, durant leur passage sur Terre, ils ont respecté la Loi de Dieu, la Loi de l’UN, leur conscience est "aspirée" et accueillie par des Êtres de Lumière, des Anges, également par des membres de leur famille qui les ont précédés. Ces désincarnés seront alors "pris en main" par leur "nouvelle Famille" pour démarrer leur nouvelle vie dans des sphères où vibrent l’Amour et la Paix de Dieu. Ils y recevront un Enseignement correspondant aux besoins et à l’aspiration de leur âme. Nourriture Spirituelle qu’ils utiliseront avec Sagesse lorsqu’ils se réincarneront ultérieurement…

A l’opposé, lorsque des désincarnés ont commis des actes gravement répréhensibles (manipulations psychologiques entraînant des suicides, viols, tortures, pédo-criminalité, meurtres), leur Conscience est immédiatement violemment PROJETEE dans des sphères ténébreuses appelées "enfer". En ce lieu, ils se retrouvent en présence de désincarnés souffrant "mille morts". Tous sont contraints de RESSENTIR les "affres de l’enfer", les "brûlures de l’enfer", revivant en boucle et en boucle, les souffrances qu’ils ont causées à des tiers pendant des années, des décennies voire des siècles…

En résumé : il n'y a jamais "d'erreur d'aiguillage" pour aucune âme lorsqu’elle quitte son corps. 

En ce qui concerne Bernard Laroche, s’il avait été le "monstre horrible" que les médias, les avocats de la famille Villemin et tant d’autres ont présenté comme tel, jamais après son assassinat regrettable, il n'aurait été accueilli et consolé par la Famille de Lumière. Il se serait retrouvé projeté immédiatement en enfer, là où le prince Rainier III de Monaco et Jean-Luc Lagardère ancien magnat de la presse se trouvent depuis leur décès respectif…

Assurément, JAMAIS le Christ en tant que "Seigneur de Justice" aurait consolé et essuyé les nombreuses larmes de Bernard Laroche en attendant sa réhabilitation posthume.

 

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Je rappelle les faits : le 29 mars 1985, Bernard Laroche fut assassiné froidement d'un coup de carabine par son cousin Jean-Marie Villemin PERSUADE que son fils Grégory avait été jeté dans la Vologne par Bernard Laroche.

Des livres furent écrits et des documentaires réalisés sur "l’affaire Grégory". Chacun, en fonction de son niveau de conscience y est allé de sa version des faits... Le mental humain, la logique humaine sont faillibles, car ils prennent en compte UNIQUEMENT les éléments qui leur semblent probants ! Mais sont-ils justes pour autant ? Plus souvent que l'on croit, la Vérité n’est pas toujours là ou l’on pense...

 

Qui mieux que Grégory Villemin, Bernard Laroche et le juge Lambert peuvent révéler ce qui s’est réellement passé le 16 octobre 1984, jour où le "petit Grégory" fut retrouvé mort noyé dans la Vologne ?

Assurément, PERSONNE hormis eux ! Je précise que les défunts, nos bien-aimés disparus font très souvent la navette entre la sphère dans laquelle ils évoluent et nos lieux d’habitation. C’est la raison pour laquelle, ils sont parfaitement au courant de nos faits et gestes et des véritables sentiments qui siègent dans nos cœurs...

 

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Le 10 octobre 2004, bouleversé, ému, se remémorant le drame qui avait fait basculer sa vie à tout jamais et celle de sa famille, empli d’émotion, Bernard Laroche se communiqua à moi pour la première fois. Désireux lui aussi de rétablir la Vérité, il épancha son cœur douloureux dans ce message poignant :

« J’ai assisté à mon propre enterrement. Je serrais ma femme dans mes bras. Elle ne sentait pas ma présence. Elle était si malheureuse, elle a été si malheureuse...

À lui – Jean-Marie Villemin – je ne lui en veux pas. "Elle" l’a manipulé de bout en bout. "Elle" le menait par le bout du nez. Il était fier d’"elle". "Elle" l’impressionnait. Parfois, "elle" le toisait. "Elle" le méprisait ! Il était complexé, il se sentait inférieur à "elle". "Elle" ne l’aimait pas. "Elle" feignait d’être amoureuse, d’être attentive. "Elle" le trompait avec "lui", son amant ! A plusieurs reprises, "elle" a eu peur de se trahir. "Elle" a failli se trahir… "Elle" MENT depuis le commencement !

 

Ma femme, dites-lui que je l’aime toujours. Je l’aime comme au premier jour. Je n’ai jamais cessé de l’aimer. Nous nous aimions, nous étions un bon couple. Notre petit nous rendait heureux.

Mon fils : il a grandi sans moi, sans mon amour, sans mes conseils. Je n’ai pas cessé de l’aimer, de le veiller. Il est fragile. Il a besoin de se reconstruire. C’est un bon petit. Il a une belle âme. Il manque de confiance en lui. Cette tragédie, cette double tragédie l’a marqué à vie. Ici, nous prions sans relâche pour lui.


Votre petit frère, "le Petit" m’a consolé. Il m’a parlé de Dieu. Il m’a appris à pardonner. Je leur ai pardonné à "tous les deux" pour tout le mal qu’"ils" m’ont fait, pour tout le mal qu’"ils" nous ont fait...

 

Mon épouse, mon petit, dites-leur combien, je les aime. Lorsqu’ils se retrouvent sur ma tombe, toujours, je les précède. Je suis à côté d’eux, je suis en eux. Je les fortifie, je les encourage. Je les aime tant. Avec votre petit frère, nous prions pour eux. Il les veille en personne, en permanence. Ils me parlent d’eux, de leur avenir...

On a sali mon image, on a entaché mon image. J’étais simple mais j’étais honnête. Je gagnais honnêtement ma vie. J’aimais ma femme. Nous étions heureux ensemble. Nous n’étions pas riches, mais nous n’étions pas pauvres. Nous aimions les joies simples de la vie en famille. Je n’ai pas suffisamment su me défendre. Je ne réalisais pas à quel point j’étais en danger. Je n’imaginais pas qu’il allait me tuer.

 

"Elle" s’est vengée ! Perversement, sournoisement, "elle" attisait sa haine à mon égard, à Jean-Marie. "Elle" me ha**ssait depuis le jour où J’AI REPOUSSÉ SES AVANCES*2. "Elle" m’en voulait terriblement… "Elle" s’était juré qu’"elle" allait me le faire payer !

"Elle" a tout organisé. "Elle" a tout manigancé… Nous avons tous énormément souffert. Nous avons été si malheureux à cause d’"elle". Je viens à la maison comme par le passé. Je remercie toutes les personnes qui ont eu confiance en moi, qui ont soutenu mon épouse, qui ont pris ma défense. A aucun moment, je n’ai démérité. J’étais un brave homme. On m’a atteint dans mon honneur. Je ne savais pas me défendre. J’aurais dû mieux plaider ma cause. Je pensais que la vérité allait éclater, qu’"elle" allait être démasquée et que tout rentrerait dans l’ordre !


J’étais quelqu’un de simple, je pensais simplement. Je ne pouvais pas imaginer qu’avec son esprit machiavélique, diabolique "elle" allait atteindre son but : ma perte !

Eux, les journalistes, aussi ont joué un vilain rôle : ils m’ont traîné dans la boue ! Ils m’ont sali… Ils ne connaissaient rien de ma vie. Ils ont menti. Ils ont monté en épingles des faits insignifiants. Ils ont brisé la vie d’un innocent. Je ne me suis pas assez méfié d’eux. Ils ont enfoncé le clou. Ils ont maquillé la vérité ! Ils ont travesti la vérité ! Vis-à-vis de l’opinion publique, ils m’ont présenté comme le SEUL coupable, comme le VRAI coupable. J’étais LE coupable idéal…


Quand j’ai été arrêté, "elle" a jubilé. Aussitôt, "elle" "lui" (son amant) a téléphoné. Ils avaient un code, quand " ils" se téléphonaient. "Elle" prenait des précautions. "Elle" était maligne, rusée, perfide. Son mari n’en a jamais rien su ! "Elle" faisait tout derrière son dos...

Dès le départ, ils – les journalistes – se sont laissés impressionner par "elle". J’étais un gros pataud : ils m’ont tout mis sur le dos. J’aurais dû réagir. Je faisais confiance en la justice. Je faisais confiance en la police. Ils ont manqué d'Intégrité ! Ils ont manqué d’honnêteté ! Ils ont raconté tant de choses fausses... Ils ont joué aux policiers..

Ma femme : ils l’ont traquée. Ils ont beaucoup inventé. Ils l’ont blessée. Elle aussi a été salie. Ils étaient AVIDES de sensationnel. Elle ne s’en est jamais remise. Elle a pensé plusieurs fois à se suicider. Avec votre petit frère, nous lui inspirions de tenir bon. Elle a énormément pleuré. Toute sa vie en fut gâchée !

Oui, parfois, j’étais révolté : "l’autre", aux yeux de tous, détournait les soupçons alors qu’"elle" était la VRAIE coupable.

Ils – les journalistes – ont outrepassé leurs droits. Ça n’était pas à eux de mener l’enquête. Ils ont sali ma réputation, mon nom. Certains plus que d’autres portent la responsabilité de mon décès. S’il n’y avait pas eu autant de bruit autour de cette affaire, peut-être que je ne serais jamais décédé ? Votre petit frère m’a consolé. "Elle" les a tous bernés ! "Elle" sait y faire...

À l’enterrement du petit, "elle" a feint la crise de nerfs : "elle" savourait sa vengeance ! Il n’y avait que cela qui comptait à ses yeux...

Lui – Jean-Marie – il a été vraiment malheureux. C’est comme si ce jour-là, on lui avait percé le cœur, arraché le cœur, broyé le cœur. "Elle" a fait de faux témoignages. "Elle" m’a sali. Je n’ai jamais démérité. J’ai été emprisonné. C’était dur pour ma femme, c’était dur pour moi.

Je n’avais rien sur la conscience. Grégory, je ne l’ai pas tué.

Ma femme sait que je ne l’ai pas tué. Elle me connaît si bien. Elle SAIT que j’aurais été incapable de commettre un tel acte monstrueux. J’aimais les enfants. Jamais je n’aurais fait aucun mal à l’un d’eux. Sa vie a été une tragédie. » 

Le "Soleil de Justice", Dieu grâce à Lui, toute la Vérité va éclater. "Elle" ne va plus pouvoir nier. "Elle" va s’effondrer. "Elle" va montrer son véritable visage. Beaucoup vont être choqués, scandalisés...

 

Je suis ici avec lui – Grégory –, il a grandi. Avec votre petit frère, nous prions. Il m’inonde de tant d’Amour, que je suis heureux. Ici, maintenant, j’ai des amis. J’ai retrouvé des parents. Je continue de m’instruire, je continue d’apprendre. Je me déplace en utilisant la Force Pensée. Je m’y suis très vite habitué. Je suis malheureux, uniquement lorsque je pense à tout ce qui s’est passé dans la Vologne. Ils vont retrouver des indices...

"Elle" était maligne, mais "elle" a commis des erreurs : "elle" a commis trois erreurs qui vont lui être fatales...

Marie-Ange, ma chérie, tu vas resourire à la vie. Tu es dans mon cœur à tout jamais. Je sais que tu ne m’as jamais oublié. Que tu es restée fidèle à ma mémoire.


TON CŒUR EST DANS MON CŒUR ET MON CŒUR EST DANS TON CŒUR.

Même la mort n’a pas pu nous séparer. Nous sommes unis par la pensée.

 

"Elle" menait les journalistes par le bout du nez. Elle savait y faire. "Elle" n’avait pas froid aux yeux. "Elle" savait se faire prendre en pitié par eux. "Elle" savait les attendrir. TOUS se sont laissé prendre à son jeu... Froidement, "elle" les a manipulés. "Elle" était une experte en manipulation. "Elle" m’en voulait : "elle" voulait ma perte…

Mon bonheur la dérangeait, car j’aimais ma femme, je lui étais fidèle. "Elle" ne l'a pas supporté ! » 


1 Tout au long de ce message, à aucun moment, Bernard Laroche ne prononça le nom de Christine Villemin.

*2 Le journal Le Républicaine Lorrain publia le 12 octobre 2024 un dossier intitulé : "Affaire Grégory, les Procès-Verbaux qui ont marqué le dossier (3/6) : la première confrontation entre Christine Villemin et le juge Lambert." Dans cet article, nous pouvons lire : "Le 24 octobre 1984 (...) "Christine Villemin livre pour la première fois à la justice le nom de Bernard Laroche qui n'est pas encore soupçonné du crime et qui aurait essayé de flirter avec elle sept ans plus tôt." La machine à broyer Bernard Laroche se mettait en marche avec froideur et perfidie... Une machination digne d'un roman policier !

Je tiens à préciser que lorsque des désincarnés se trouvent en Présence du Christ ou en Présence d'Etres de Lumière, il leur est IMPOSSIBLE de dire autre chose que la Vérité.


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